Accompagnement

Ma CMA, la référence dans mes démarches

Le 01/07/2021
par CMA 23
Guillaume Considère est à la tête de MGC, une entreprise de maçonnerie basée à Aubusson. Il l’a rachetée il y a un an, en pleine pandémie, grâce à l’appui de la chambre de métiers et de l’artisanat.
Partager :

Un chef d'entreprise passionné 

Guillaume Considère a des journées à cent à l’heure. Le jeune homme, installé à Aubusson depuis l’été dernier, dirige MGC, une entreprise de maçonnerie spécialisée dans la rénovation. 

« Le bâtiment, c’est ma vie, ma passion. Je suis tombé dedans en travaillant l’été sur des chantiers avec mon oncle, qui est maçon. Ça a été une révélation, se remémore Guillaume Considère.  Mais aujourd’hui, heureusement que j’ai mes deux salariés sur les chantiers car la gestion administrative me prend énormément de temps. »

C’est justement pour ne plus passer ses soirées et ses week-ends à gérer comptabilité et autres formalités que Guillaume Considère a eu envie de reprendre une entreprise avec des salariés déjà en place.

« Lorsque je possédais ma précédente entre- prise, j’étais seul. Quand j’ai vu la charge de travail augmenter, j’ai voulu recruter, se remémore l’artisan. Mais impossible de trouver quelqu’un de motivé. » 

Alors l’idée de reprendre une entreprise avec des salariés déjà en poste germe dans son esprit.

« C’est à ce moment-là que j’ai pris contact avec la chambre de métiers et de l’artisanat. La CMA, c’est la référence. Quand j’étais petit, j’accompagnais souvent mon père, électricien, à la CMA de Guéret, se souvient le jeune entrepreneur. Quand il avait une question, c’était vers la Chambre qu’il se tournait. Alors forcément, je fais la même chose. »

Des conseils sur mesure 

Guillaume Considère connaît bien l’entreprise qui est à vendre. « Ma conseillère m’a conforté dans mon choix. Elle m’a fourni plein d’informations utiles. J’ai vu que l’entreprise était viable et qu’elle avait deux salariés. C’était parfait. » Nous sommes alors début 2020.

« La Covid est arrivée en plein pendant mes démarches de reprise. Tout a traîné : la banque, le notaire... Heureusement, ma conseillère à la CMA a toujours été à l’écoute et réactive. Sans elle, je pense que j’aurais craqué. Elle a su réagir vite à chaque fois que j’avais une question qui me tracassait, et elle m’a rassuré, poursuit le jeune homme. C’est essentiel que les artisans puissent s’appuyer sur la CMA. Elle nous permet d’évoluer, d’avancer. D’ailleurs, c’est aussi très important qu’elle continue à nous envoyer des propositions de formation même si, personnellement, je ne peux pas toujours me libérer. »

>> Vous souhaitez bénéficier de conseils personnalisés ? Contactez votre conseiller à la CMA 23 !

Partager :